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décomposition d'un ciel

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Décomposition d'un ciel

Chloë Charce

sérigraphie sur acétate et sur papier, épingles, ensemble de 7 cadres de 20 x 30 cm, 2011

projet réalisé lors d'une résidence à l'Atelier Graff (L'imprimerie)

Blanc de mémoire

exposition solo

Centre d'exposition de Val-David

commissaire : Manon Regimbald

Décomposition d’un ciel est une série de sept tableaux montrant différentes couches sérigraphiées en dégradés d’un ciel nuageux qui, au lieu d’être superposées sur une même surface, se retrouvent juxtaposées, chacune étant le fragment d’un tout que le regard s’amuse à recomposer. Ce projet s’inscrit dans la continuité d’une réflexion sur l’image imprimée.

à l'échelle

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À l'échelle

Chloë Charce

échelle, cadre, sérigraphie sur plexiglas, boîte lumineuse, dimensions variables, 2012

projet réalisé lors d'une résidence à l'Atelier Graff (L'imprimerie)

Blanc de mémoire

exposition solo

Centre d'exposition de Val-David

commissaire : Manon Regimbald

À l'échelle est une installation (sculpture et sérigraphie) composée d'une échelle adossée à un mur et d'un tableau au cadre baroque, qui peut s’allumer et s’éteindre à l’aide d’une chaînette, comme une ampoule au plafond. Celui-ci représente un ciel nuageux, sérigraphié sur sept couches d'acrylique superposées et contenues à l’intérieur d’une boîte lumineuse, encastrée dans le mur. Ce projet s’inscrit dans la continuité d’une réflexion sur l’image imprimée.

ciel - contemplant une mer de nuages

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Ciel - contemplant une mer de nuages

Chloë Charce

installation vidéo, cadres dorés suspendus, vinyle (2 x 30 cm x 40 cm), dimensions variables, 2014

Ciel - contemplant une mer de nuages est une installation vidéo composée de deux cadres de style baroque suspendus dans l’espace, sur lesquels est projeté un même paysage de ciel (le premier en noir et blanc, le second en couleur). Si elles semblent statiques au premier regard, les images vidéos montrent pourtant un ciel nuageux qui se berce lentement au gré du vent, invitant à la contemplation. De plus, la séquence d’une durée de six minutes passe successivement à l’endroit et à l’envers – avançant et reculant en boucle – comme une respiration. Synonyme de l’infini, métaphore de l’au-delà, l’image du ciel est de l’ordre du poétique, du Romantisme et du sublime. En capturant ainsi un fragment de paysage céleste, tel un subtile Memento mori, je tente de m’approprier une réalité qui nous échappe, celle de la vie et de la mort. Une réflexion sur le temps, le tableau de paysage, l’image fixe et l’image en mouvement, le passage photographique et cinématique du noir et blanc à la couleur, ...  

Vidéo de l'installation

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